Brigitte Cormier
« Le Palais royal, passionnément Haendel. […] Et, c’est avec une fougue juvénile endiablée que vont se succéder parties orchestrale, récitatifs, airs en solo, en duo, ou avec chœur (placé au centre du parterre). Aucun temps mort. Pas la moindre chance pour que se propage l’ennui sournois qui guette les spectateurs de concerts classiques. »