Christophe Rizoud
« Le Palais royal et Vannina Santoni à l’école des héros […] A la tête de son ensemble Le Palais royal, Jean-Philippe Sarcos a l’enthousiasme contagieux. Avec son énergie, ses impatiences, ses indécisions aussi, la Symphonie héroïque en première partie a les défauts et les qualités de ce qui est le trésor le plus précieux au monde (si l’on en croit Faust dont Vannina Santoni sera sans doute un jour une formidable Marguerite) : la jeunesse. »