Clément Taillia
« […] choristes comme instrumentistes parviennent, grâce à la battue très lisible de Jean-Philippe Sarcos, à faire leur un chef d’œuvre qui, d’une langue à l’autre, ne perd rien de ses sortilèges : dans la superbe salle de l’Ancien Conservatoire, hantée par les fantômes de Berlioz, de Habeneck ou de Mendelssohn, la magie opère ! »