Depuis ses débuts au conservatoire, [Jean-Philippe Sarcos] n’a qu’une idée en tête : sortir la musique classique du ghetto où l’on a parfois tendance à l’enfermer. Son métier, il l’a appris auprès de grands musiciens qui ont jalonné son parcours, Georges Prêtre ou William Christie, et qui l’ont marqué à vie. […] Cette articulation entre musiciens professionnels et étudiants est unique en France. […] Ces jeunes, une fois dans la vie professionnelle, jouent le jeu, inscrivant leurs enfants dans des conservatoires et mécénant des orchestres classiques. Ainsi, la chaîne créée par le chef du Palais royal se développe avec le temps.
Voir tout l’article dans l’hebdomadaire du 6 au 12 janvier 2018