Entre la candeur virginale de Tancredi et la maturité décomplexée du Comte Ory, Le Palais royal et trois chanteurs explorent les mille nuances du bel canto rossinien.
C’est le Paradis perdu d’un art légendaire hérité de la tradition italienne du XVIIIe siècle que Rossini recueille, rénove, transcende, et qui meurt avec lui.
OUVERTURE
Sinfonia de Tancredi
ACTE I (extraits de Tancredi)
1. Entrée de Tancredi, prélude, récitatif et cavatine :
Preludio (Atto I – scena V) & ritornello
« Oh patria ! Dolce e ingrata patria !… Tu che accendi questo core »
« Di tanti palpiti » (Tancredi, mezzo)
2. Récitatif et aria « Pensa che sei mia figlia » (Argirio, ténor)
3. Prélude de l’acte II
4. Interlude et cavatine « Più dolci e placide spirano l’aure » et « Come dolce all’ alma mia » (Aménaïde, soprano)
5. Trio final « Tra quai soavi palpiti » (Aménaïde, Argirio et Tancredi) (lieto fine de la création à Venise)
ACTE II (extraits du Comte Ory)
6. Duo « Une dame de haut parage » (Isolier, comte Ory)
7. Marche « Isolier dans ces lieux » (comtesse Adèle, Isolier, comte Ory)
8. Air « En proie à la tristesse » (comtesse Adèle et chœur)
9. « Vous avez entendu sa touchante prière… Ô, bon ermite » (comtesse Adèle, Isolier, comte Ory, chœur)
10. Prélude de l’acte I (orchestre seul)
11. Trio final : « D’effroi je suis toute saisie… À la faveur de cette nuit obscure » (comtesse Adèle, Isolier, comte Ory)
Julie Mathevet, soprano
Aliénor Feix, mezzo
Mathias Vidal, ténor
Adrien Jourdain, mise en espace
Le Palais royal, orchestre sur instruments d’époque
Jean-Philippe Sarcos, direction
Durée : 1 h 15
Espace Georges Brassens d'Itteville (91)
Concert Coup de foudre
Salle Gaveau, Paris VIIIe
Salle Gaveau, Paris VIIIe
Concert Grand Salon
Cercle de l'Union Interalliée (Paris VIIIe)