L’amour de Jean-Philippe Sarcos pour la musique de Haendel, déclaré en préambule, s’exprime par la pulsation imprimée à chaque numéro, à la manière dont deux danseurs accordent naturellement leurs pas. Si cette métaphore chorégraphique vient à l’esprit, c’est parce que la direction d’orchestre semble puiser son inspiration dans la dynamique ondoyante des partitions, à l’instar de la marche de Rinaldo, si vivace qu’entraîné par le mouvement, on se surprend à taper en rythme le sol du pied.
Christophe Rizoud, Forum Opéra, 19 novembre 2023.
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