Rossini, le Paradis perdu

03 avril 2024

Le mezzo-soprano d’Aliénor Feix possède un beau timbre dont les couleurs framboisées s’ombrent de bordeaux lorsque la voix aborde les registres inférieurs. […] Julie Mathevet affronte bravement les coloratures dont est hérissé l’air d’Amenaïde. […] La précision rythmique que le chef impose à son orchestre est une des clés de ce paradis rossinien […].

Christophe Rizoud, Forum Opéra, 3 avril 2024

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