La joie de la jeunesse.
Du fond de son berceau, Mozart assiste déjà aux répétitions quotidiennes de son père, compositeur et maître de concert.
A 2 ans, il entend, émerveillé, les leçons de clavecin que reçoit Nannerl, sa sœur tendrement aimée. Tout de suite il veut l’imiter, jouer avec elle et effectue ainsi ses premiers pas musicaux dans la joie.
Les progrès sont si faciles et fulgurants qu’à 6 ans il peut partir avec son père et sa sœur pour une tournée de concerts triomphale à travers l’Europe. Une aventure artistique, éducative et joyeuse sans égale dont il est le héros qui joue à émerveiller les grands et à faire chanter « les mots qui s’aiment ».
Cette joie de jouer pour les autres et de composer ne le quittera plus. Jusqu’à sa mort, à 35 ans, il gardera cet esprit d’enfance insouciant et enthousiaste, spontané et transparent, dont sa musique est le miroir.
Avec ce nouveau programme, Le Palais royal désire nous faire entrer dans l’intimité de Wolfgang à 11 ans, 15, 16 ou 18 ans. Quel que soit son âge, il livre dans sa musique les fascinants reflets d’une âme où règnent l’amour, la beauté et la joie.
Apollo et Hyacinthus, K. 38 (1767)
1. Ouverture
2. Acte I : Arioso « O Apollo »
3. Acte I : Choeur « Numen O Latonium »
4. Acte II : Air « Laetari iocari »
5. Acte II : Air « En duos conspicis »
6. Acte III : Air « Ut navis in aequore luxuriante »
7. Acte III : Duo « Natus cadit »
8. Acte III : Trio « Tandem post turbida »
9. Inter natos mulierum, K. 72 (1771)
Grabmusik, K. 42 (1767) :
10. Chœur « Jesu, wahrer Gottessohn »
11. Air « Felsen spaltet »
12. Regina coeli, K. 127 (1772) : Alleluia
13. Misericordias Domini, K. 222 (1775)
14. Litaniae Lauretanae, K. 195 (1774)
Le Palais royal, chœur et orchestre sur instruments d’époque
17 instrumentistes, 22 chanteurs.
Direction musicale : Jean-Philippe Sarcos
Église de Boissy-la-Rivière (91)
Eglise d'Authon-la-Plaine (91)
Eglise Saint-Germain-des-Prés
Eglise Saint-Roch
Concert Grand Salon
Cercle de l'Union Interalliée