Ce programme réunit la 7e symphonie de Beethoven, que Wagner qualifiait d’Apothéose de la Danse, et le concerto pour clarinette de Mozart.
Composé quelques mois avant la mort du compositeur, ce dernier constitue à son tour une apothéose, celle de l’œuvre de Mozart.
Son adagio, modèle de pureté, trouve sa place entre deux mouvements rayonnant de vie et de joie, comme l’est également toute la symphonie de Beethoven.
Comme pour toutes les œuvres les plus sublimes de Mozart, on pourrait reprendre à propos du mouvement lent de ce concerto pour clarinette les mots de Sibelius à propos du quintette à cordes K 515 : « C’est le genre d’œuvre qui vous met le sourire aux lèvres à l’heure de votre mort ».
Ludwig van Beethoven (1770-1827)
Symphonie n°7 en la majeur, opus 92
1. Poco sostenuto. Vivace
2. Allegretto
3. Presto
4. Allegro con brio
Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791)
Concerto pour clarinette en la majeur K622
1. Allegro
2. Adagio
3. Rondo
Le concerto sera interprété sur une clarinette de basset, comme lors de la création de l’œuvre par Stadler en 1791, cet ami de Mozart qui avait conçu l’instrument et pour qui Mozart avait composé ce concerto.
Le Palais royal, orchestre sur instruments d’époque
Soliste :
Pierre Génisson, clarinette de basset
33 instrumentistes
Direction musicale : Jean-Philippe Sarcos
Durée : 1h20
Beethoven – 7e symphonie, 2e mouvement allegretto
Concert du 24 septembre 2016, Théâtre de Moulins, Allier, Festival de Souvigny
Saison de concerts Prima La Musica à l'Auditorium de Vincennes (94)
Festival de Souvigny, Théâtre de Moulins (03)
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